Les oeuvres de Jazzu s’inscrivent indéniablement dans la tendance actuelle de l’art contemporain urbain post Basquiat. Jazzu rappelle les mots de Marcel Duchamp « il n’y a plus rien à inventer, tout a déjà été créé ».
« Je peins seulement avec mes tripes, j’extériorise mes maux à travers des mots, de la couleur qui s’impose avec force et vigueur », dit l’artiste. Art à la fois brut et sensuel, sage et vif, il s’adresse à chacun de nous, invitant par l’universalité de ses thématiques à la réflexion personnelle et à la discussion humaine.